TRAITÉ DES SUCCESSIONS DIVISÉ EN QUATRE LIVRES, I - DE CEUX À QUI L’ON SUCCÈDE ET DE CEUX QUI SUCCÈDENT ; II - DES CHOSES AUXQUELLES ON SUCCÈDE ; III : DES MANIÈRES DE SUCCÉDER ; IV : DES CHARGES DES SUCCESSIONS, avec de nouvelles décisions, et des remarques critiques par Messire François-Bernard ESPIARD DE SAUX, Président à Mortier Honoraire au Parlement de Besançon. Nouvelle éd., augmentée par M***, ancien Avocat au Parlement, œuvre posthume
LE BRUN (Denis)
TRAITÉ DES SUCCESSIONS DIVISÉ EN QUATRE LIVRES, I - DE CEUX À QUI L’ON SUCCÈDE ET DE CEUX QUI SUCCÈDENT ; II - DES CHOSES AUXQUELLES ON SUCCÈDE ; III : DES MANIÈRES DE SUCCÉDER ; IV : DES CHARGES DES SUCCESSIONS, avec de nouvelles décisions, et des remarques critiques par Messire François-Bernard ESPIARD DE SAUX, Président à Mortier Honoraire au Parlement de Besançon. Nouvelle éd., augmentée par M***, ancien Avocat au Parlement, œuvre posthume
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1775
Editeur : Moutard
Description : 2 t. en 1 vol. in-folio, plein veau brun marbré, tit. et filets encadrants dorés sur dos à 6 nerfs, coiffes soulignées de frises dorées, (ors partiellement passés, coins et coupes émoussés avec mq., fortes épidermures sur les plats, coiffe supérieure affaissée), int. assez frais, XXXVI-468-370 p.
Ce traité des successions a toujours été regardé comme l’ouvrage fondamental sur la matière et certains auteurs ont comparé son apport à celui de Domat, dans le droit civil général. Ourliac et Malafosse soulignent (p. 90) que « les meilleurs traités anciens en cette matière sont ceux de Denis le Brun et de Pothier ».
Ce traité des successions a toujours été regardé comme l’ouvrage fondamental sur la matière et certains auteurs ont comparé son apport à celui de Domat, dans le droit civil général. Ourliac et Malafosse soulignent (p. 90) que « les meilleurs traités anciens en cette matière sont ceux de Denis le Brun et de Pothier ».
2 t. en 1 vol. in-folio, plein veau brun marbré, tit. et filets encadrants dorés sur dos à 6 nerfs, coiffes soulignées de frises dorées, (ors partiellement passés, coins et coupes émoussés avec mq., fortes épidermures sur les plats, coiffe supérieure affaissée), int. assez frais, XXXVI-468-370 p.
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