[Voltaire], BAILLY (Jean Sylvain)
LETTRES SUR L’ATLANTIDE DE PLATON ET SUR L’ANCIENNE HISTOIRE DE L’ASIE, Pour servir de suite aux lettres sur l’origine des Sciences, adressées à M. de Voltaire par M. Bailly
Lieu d’édition : Londres - Paris
Année d’édition : 1779
Editeur : Debure
Description : in-8, pl. veau blond marbré, tit. doré sur dos à 5 nerfs ornés de fers dorés, caissons décorés de fleurons et doubles filets encadrants dorés, roulette sur les coupes, tr. rouge, vignettes, une carte dépliante, (coiffes arrachées, mors fendus sur qq. cm., une importante épidermure sur le plat inf., coins lég. émoussés, qq. mouillures et rares piqûres à l’int.), int. frais, 480 p.
Édition Originale qu’on reconnaît à son nombre de pages (480) au lieu d’une édition publiée après et qui n’en contient que 444 (tout comme celle de 1805). « Un des plus intéressants écrits du célèbre Maire de Paris. L’auteur y attribue la création de tous nos arts à un peuple ancien, originaire du nord, habitant primitivement les hauts plateaux de la Tartarie orientale. De ce peuple détruit, les arts auraient passé aux Chinois, aux Indiens, aux Chaldéens, aux Grecs, etc...» (Caillet-649 ; Stanislas de Gaïta-30). Ces lettres, écrites avant la mort de Voltaire, n’avaient pas pu lui être communiquées, c’est pour cela qu’elles ne commencent qu’à la quatrième lettre, les trois précédentes étaient connues du grand philosophe, qui contrairement à Bailly, était persuadé que les Brames sont les auteurs de la philosophie et des sciences, pour Bailly, ils n’en étaient que les dépositaires
Mots clés : Curiosité - Vulgarisation - Humour Droit
Édition Originale qu’on reconnaît à son nombre de pages (480) au lieu d’une édition publiée après et qui n’en contient que 444 (tout comme celle de 1805). « Un des plus intéressants écrits du célèbre Maire de Paris. L’auteur y attribue la création de tous nos arts à un peuple ancien, originaire du nord, habitant primitivement les hauts plateaux de la Tartarie orientale. De ce peuple détruit, les arts auraient passé aux Chinois, aux Indiens, aux Chaldéens, aux Grecs, etc...» (Caillet-649 ; Stanislas de Gaïta-30). Ces lettres, écrites avant la mort de Voltaire, n’avaient pas pu lui être communiquées, c’est pour cela qu’elles ne commencent qu’à la quatrième lettre, les trois précédentes étaient connues du grand philosophe, qui contrairement à Bailly, était persuadé que les Brames sont les auteurs de la philosophie et des sciences, pour Bailly, ils n’en étaient que les dépositaires
Fiche technique
- Lieu d’édition
- Londres - Paris
- Année d’édition
- 1779
- Date d’édition
- 1779-01-01
- Editeur
- Debure
- Description
- in-8, pl. veau blond marbré, tit. doré sur dos à 5 nerfs ornés de fers dorés, caissons décorés de fleurons et doubles filets encadrants dorés, roulette sur les coupes, tr. rouge, vignettes, une carte dépliante, (coiffes arrachées, mors fendus sur qq. cm., une importante épidermure sur le plat inf., coins lég. émoussés, qq. mouillures et rares piqûres à l’int.), int. frais, 480 p.
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