BOURJON (François)
LE DROIT COMMUN DE LA FRANCE, ET LA COUTUME DE PARIS RÉDUITS EN PRINCIPES, tirés des Loix, des Ordonnances, des Arrêts, des Jurisconsultes & des Auteurs, & mis dans l’ordre d’un Commentaire complet & méthodique sur cette Coutume : Contenant, dans cet ordre, les usages du Châtelet sur les Liquidations, les Comptes, les Partages, les Substitutions, les Dîmes, & toutes autres matières. Nouvelle édition, considérablement augmentée. Revue, corrigée, & augmentée d’un grand nombre de Notes.
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1770
Editeur : Grangé - Cellot
Description : 2 vol. in-folio, plein veau raciné fauve, tit. & tom. dorés sur pc. bordeaux et ébène, caissons ornés de fleurons, frises et filets dorés encadrant, roulettes dorées sur les coupes, tr. rouges, lettrines ornées, vignettes, bandeaux et guirlandes ornementales, (rel. frottées avec d’importantes épidermures sur les plats, coiffes du t. I accidentées, mors partielt fendus, coupes frottées et coins émoussés, rares mouillures et piqûres), int. frais et bien conservé, [11 ff.]-1136 p. / XXVIII-864 p.
Texte capital de l’ancien droit français dans la deuxième et dernière édition grandement complétée (la première date de 1747). Son objet est d’établir un corps de droit continu puisant dans la loi naturelle, le droit romain, le droit d’origine royale et les coutumes. On lui doit une magnifique définition de la notion « droit commun » et on notera également que le premier tome s’ouvre par la maxime « toute personne est libre » dont le rapprochement avec l’article 8 du Code civil « tout Français jouira des droits civils » marque tout à la fois l’universalisme du droit des Lumières mais en même temps la titularité d’une liberté et non de droit-créance.
Mots clés : Droit ancien - Histoire du droit Coutumes
Texte capital de l’ancien droit français dans la deuxième et dernière édition grandement complétée (la première date de 1747). Son objet est d’établir un corps de droit continu puisant dans la loi naturelle, le droit romain, le droit d’origine royale et les coutumes. On lui doit une magnifique définition de la notion « droit commun » et on notera également que le premier tome s’ouvre par la maxime « toute personne est libre » dont le rapprochement avec l’article 8 du Code civil « tout Français jouira des droits civils » marque tout à la fois l’universalisme du droit des Lumières mais en même temps la titularité d’une liberté et non de droit-créance.
Fiche technique
- Lieu d’édition
- Paris
- Année d’édition
- 1770
- Date d’édition
- 1770-01-01
- Editeur
- Grangé - Cellot
- Description
- 2 vol. in-folio, plein veau raciné fauve, tit. & tom. dorés sur pc. bordeaux et ébène, caissons ornés de fleurons, frises et filets dorés encadrant, roulettes dorées sur les coupes, tr. rouges, lettrines ornées, vignettes, bandeaux et guirlandes ornementales, (rel. frottées avec d’importantes épidermures sur les plats, coiffes du t. I accidentées, mors partielt fendus, coupes frottées et coins émoussés, rares mouillures et piqûres), int. frais et bien conservé, [11 ff.]-1136 p. / XXVIII-864 p.
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