BOURJON (François)
LE DROIT COMMUN DE LA FRANCE, ET LA COUTUME DE PARIS RÉDUITS EN PRINCIPES, Tirés des Ordonnances, des Arrêts, des Loix Civiles, & des Auteurs, & mis dans l’ordre d’un Commentaire complet & méthodique sur cette Coutume : Contenant, dans cet ordre, les usages du Châtelet sur les Liquidations, les Comptes & les Partages & sur toutes autres Matières
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1747
Editeur : Grangé - Rouy
Description : 2 vol. in-folio, pl. veau blond marbré, tit. et tom. dorés sur pc. brunes avec double filets dorés encadrants, dos à 6 nerfs ornés de dentelles, fleurons et filets encadrant dorés, roulette dorée sur les coupes, tr. rouges, impression en deux colonne, bandeaux, lettrines et vignettes, (nb. épidermures sur les plats et au niveau des nerfs, qq. trous de vers non traversants, coins émoussés avec mq., coupes légt usées, mors inf. du t. II fendu en bas, coiffes du t. I accidentées avec mq., rares piqûres à l’int., une annotation d’époque à l’encre), int. très frais, XLJ-911 / XXV-679 p.
Texte capital de l’ancien droit français dans la deuxième et dernière édition grandement complétée (la première date de 1747). Son objet est d’établir un corps de droit continu puisant dans la loi naturelle, le droit romain, le droit d’origine royale et les coutumes. On lui doit une magnifique définition de la notion « droit commun » et on notera également que le premier tome s’ouvre par la maxime « toute personne est libre » dont le rapprochement avec l’article 8 du Code civil « tout Français jouira des droits civils » marque tout à la fois l’universalisme du droit des Lumières mais en même temps la titularité d’une liberté et non de droit-créance. Dernière édition.
Mots clés : Recueils d'Arrêts - Ordonnances Coutumes
Texte capital de l’ancien droit français dans la deuxième et dernière édition grandement complétée (la première date de 1747). Son objet est d’établir un corps de droit continu puisant dans la loi naturelle, le droit romain, le droit d’origine royale et les coutumes. On lui doit une magnifique définition de la notion « droit commun » et on notera également que le premier tome s’ouvre par la maxime « toute personne est libre » dont le rapprochement avec l’article 8 du Code civil « tout Français jouira des droits civils » marque tout à la fois l’universalisme du droit des Lumières mais en même temps la titularité d’une liberté et non de droit-créance. Dernière édition.
Fiche technique
- Lieu d’édition
- Paris
- Année d’édition
- 1747
- Date d’édition
- 1747-01-01
- Editeur
- Grangé - Rouy
- Description
- 2 vol. in-folio, pl. veau blond marbré, tit. et tom. dorés sur pc. brunes avec double filets dorés encadrants, dos à 6 nerfs ornés de dentelles, fleurons et filets encadrant dorés, roulette dorée sur les coupes, tr. rouges, impression en deux colonne, bandeaux, lettrines et vignettes, (nb. épidermures sur les plats et au niveau des nerfs, qq. trous de vers non traversants, coins émoussés avec mq., coupes légt usées, mors inf. du t. II fendu en bas, coiffes du t. I accidentées avec mq., rares piqûres à l’int., une annotation d’époque à l’encre), int. très frais, XLJ-911 / XXV-679 p.
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