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VOET (Joannis) [VOET (Johannes)]

JOANNIS VOET JCTI ET ANTECESSORIS IN ACADEMIA LUGDUNO-BATAVA, COMMENTARIORUM AD PANDECTAS, LIBRI QUINQUAGINTA, In quibus præter Romani Juris principia ac controversias illustriores, Jus etiam hodiernum, & præcipuæ Fori Quæstiones excutiuntur. EDITIO QUARTA VENETA PRIORIBUS EMENDATIOR ET AUCTIOR : Cui nempe præter V. Cl. CASPARI BURMANNI Vitæ Auctoris Narrationem, & Indicem Generalem Titulorum, & Materiarum, in sex Tomis contentarum, NUNC PRIMUM ACCEDUNT, Alii duo Tractatus de FAMILIA ERCISCUNDA, & de JURE MILITARI, qui simul cum prædicto Indice constituunt Tomum Septimum.

Lieu d’édition : Bassani [Bassano del Grappa]

Année d’édition : 1804

Editeur : Ex Typographia Remondiniana

Description : 7 vol. in-8, pl. rel. à fermoirs à lacets en vélin beige, tit. et tom. manuscrits sur dos lisse, imp. en double colonne, (fermoirs à lacets légt usés, des rousseurs et piqûres à l’int, t. IV : qq. soulignures au crayon), ouvrages bien conservés, bon état, XII-360/IV-363/IV-428/IV-408/IV-480/IV-475/350.

Une des œuvres les plus importantes du droit romain et un des plus grands commentaires des 50 Livres du Digeste publiés initialement à Amsterdam en 1698. « Bien qu'il montre des signes d’humanisme juridique, il peut également être considéré comme une forme néerlandaise d’usus modernus pandectarum. Traduit en allemand au XIXe siècle, il constitue encore aujourd’hui une source importante de la loi sud-africaine.Voët voulait réunir ensemble la théorie et la pratique des droits romain et moderne. Contrairement à l’humanisme juridique, il ambitionnait d’expliquer le droit et non de se livrer à une critique philologique des textes. Au lieu de problématiser la genèse du Corpus Juris Civilis, il l’acceptait fondamentalement comme simple texte légal.Selon Voët, la connaissance du droit coutumier suffisait à expliquer le droit et à être un bon juriste, alors que pour son confrère Gerhard Noodt, qui soumettait les textes du Corpus Juris à une critique philologique en examinant les interpolations possibles, la compréhension humaniste des textes s’arrêtait nécessairement à un enseignement historique et philologique. » Rare édition complète du dernier volume d’index.

1 000 €
(Réf. 52619)
TTC

Mots clés : Droit romain - Droits antiques Droit ancien - Histoire du droit

Une des œuvres les plus importantes du droit romain et un des plus grands commentaires des 50 Livres du Digeste publiés initialement à Amsterdam en 1698. « Bien qu'il montre des signes d’humanisme juridique, il peut également être considéré comme une forme néerlandaise d’usus modernus pandectarum. Traduit en allemand au XIXe siècle, il constitue encore aujourd’hui une source importante de la loi sud-africaine.Voët voulait réunir ensemble la théorie et la pratique des droits romain et moderne. Contrairement à l’humanisme juridique, il ambitionnait d’expliquer le droit et non de se livrer à une critique philologique des textes. Au lieu de problématiser la genèse du Corpus Juris Civilis, il l’acceptait fondamentalement comme simple texte légal.Selon Voët, la connaissance du droit coutumier suffisait à expliquer le droit et à être un bon juriste, alors que pour son confrère Gerhard Noodt, qui soumettait les textes du Corpus Juris à une critique philologique en examinant les interpolations possibles, la compréhension humaniste des textes s’arrêtait nécessairement à un enseignement historique et philologique. » Rare édition complète du dernier volume d’index.

52619

Fiche technique

Lieu d’édition
Bassani [Bassano del Grappa]
Année d’édition
1804
Date d’édition
1804-01-01
Editeur
Ex Typographia Remondiniana
Description
7 vol. in-8, pl. rel. à fermoirs à lacets en vélin beige, tit. et tom. manuscrits sur dos lisse, imp. en double colonne, (fermoirs à lacets légt usés, des rousseurs et piqûres à l’int, t. IV : qq. soulignures au crayon), ouvrages bien conservés, bon état, XII-360/IV-363/IV-428/IV-408/IV-480/IV-475/350.

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