MOURLON (Frédéric)

RÉPÉTITIONS ÉCRITES SUR LES TROIS EXAMENS DE CODE NAPOLÉON, CONTENANT L’EXPOSÉ DES PRINCIPES GÉNÉRAUX, LEURS MOTIFS ET LA SOLUTION DES QUESTIONS THÉORIQUES, 7e éd. revue et corrigée, Suivie d’un formulaire complet du Code Napoléon

Lieu d’édition : Paris

Année d’édition : 1866

Editeur : A. Marescq et E. Dujardin

Description : 3 vol. in-8, demi-basane brune, tit. et tom. dorés sur dos lisse orné de triple filet encadrant, (rares et légères épidermures au dos, coupes très légt frottées et coins parfois légt émoussés, t. I et III : des rousseurs à l’int.), IV-885 / VIII-881 / IV-836 p.

Même si sur le plan théorique on peut classer Mourlon dans les auteurs secondaires de l’École de l’exégèse (en accord avec J.-L. Halpérin), il n’en présente pas moins deux particularités qui en font un texte important. D’abord par sa présentation en 3 vol. Il est un des premiers à suivre le plan d’exposition du Code civil dans les facultés de droit. C’est l’organisation de ce texte qui sera reproduite quelques années plus tard par les traités élémentaires de Baudry-Lacantinerie et de Planiol. D’autre part dans cette catégorie des traités élémentaires, il a de toute évidence fait référence et Dramard (n° 112) parle en ces termes : « Le succès soutenu de cet ouvrage a fait négliger tous les livres élémentaires du même genre parus antérieurement. C’est un excellent guide pour la jeunesse des écoles et messieurs les professeurs, dont il analyse et commente souvent l’enseignement, en recommandent en général la lecture à leurs élèves. Il n’y a rien à retrancher à l’appréciation qu’en donnait il y a quelques années M. Dalloz : "Sous ce titre modeste de répétitions écrites Mourlon a publié un livre qui jouit depuis longtemps à l’école d’une estime non moins grande que méritée. C’est en effet un de ces bons livres élémentaires qui ont rendu d’éminents services aux études et dont la portée et le mérite réels les rendent dignes de figurer dans la bibliothèque du jurisconsulte. C’est un de ces ouvrages précieux qui peuvent être également utiles à ceux qui les étudient pour s’instruire et à ceux qui les consultent pour s’éclairer. »
150 €
(Réf. 52876)
TTC

Mots clés : Droit civil

Même si sur le plan théorique on peut classer Mourlon dans les auteurs secondaires de l’École de l’exégèse (en accord avec J.-L. Halpérin), il n’en présente pas moins deux particularités qui en font un texte important. D’abord par sa présentation en 3 vol. Il est un des premiers à suivre le plan d’exposition du Code civil dans les facultés de droit. C’est l’organisation de ce texte qui sera reproduite quelques années plus tard par les traités élémentaires de Baudry-Lacantinerie et de Planiol. D’autre part dans cette catégorie des traités élémentaires, il a de toute évidence fait référence et Dramard (n° 112) parle en ces termes : « Le succès soutenu de cet ouvrage a fait négliger tous les livres élémentaires du même genre parus antérieurement. C’est un excellent guide pour la jeunesse des écoles et messieurs les professeurs, dont il analyse et commente souvent l’enseignement, en recommandent en général la lecture à leurs élèves. Il n’y a rien à retrancher à l’appréciation qu’en donnait il y a quelques années M. Dalloz : "Sous ce titre modeste de répétitions écrites Mourlon a publié un livre qui jouit depuis longtemps à l’école d’une estime non moins grande que méritée. C’est en effet un de ces bons livres élémentaires qui ont rendu d’éminents services aux études et dont la portée et le mérite réels les rendent dignes de figurer dans la bibliothèque du jurisconsulte. C’est un de ces ouvrages précieux qui peuvent être également utiles à ceux qui les étudient pour s’instruire et à ceux qui les consultent pour s’éclairer. »
52876

Fiche technique

Lieu d’édition
Paris
Année d’édition
1866
Date d’édition
1866-01-01
Editeur
A. Marescq et E. Dujardin
Description
3 vol. in-8, demi-basane brune, tit. et tom. dorés sur dos lisse orné de triple filet encadrant, (rares et légères épidermures au dos, coupes très légt frottées et coins parfois légt émoussés, t. I et III : des rousseurs à l’int.), IV-885 / VIII-881 / IV-836 p.

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