TRAITÉ DES SERVITUDES OU SERVICES FONCIERS, 7e éd.
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1829
Editeur : Nève
Description : in-8, demi-veau aubergine style Louis-Philippe, tit. doré sur dos lisse orné de dentelles et filets dorés, fers à froid sur les plats, tr. jaspées, (rares et légères épidermures au dos, coupes frottées et coins légt émoussés, rares piqûres et mouillures), VIII-598 p.
« Il n’existe pas dans le nouveau droit, ni même dans l’ancien, d’auteur qui ait mieux traité que M. Pardessus la matière des servitudes » (Camus n° 1410) ; « ouvrage d’une érudition remarquable » (F. Laferrière, histoire du droit français, t. 2 p. 398). Selon Laferrière, Pardessus est le premier auteur à avoir, au début du XIXe siècle, donné une impulsion à la doctrine, jusque là en retrait, à la suite du grand mouvement de codification napoléonien. L’ouvrage contient en outre d’intéressants développements sur les servitudes d’utilité publique. Nous avons, en outre, ici un exemplaire issu d’une des dernières éditions qui discute dans des notes substantielles les critiques doctrinales dont a fait l’objet l’ouvrage. (Dramard n° 1220).
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« Il n’existe pas dans le nouveau droit, ni même dans l’ancien, d’auteur qui ait mieux traité que M. Pardessus la matière des servitudes » (Camus n° 1410) ; « ouvrage d’une érudition remarquable » (F. Laferrière, histoire du droit français, t. 2 p. 398). Selon Laferrière, Pardessus est le premier auteur à avoir, au début du XIXe siècle, donné une impulsion à la doctrine, jusque là en retrait, à la suite du grand mouvement de codification napoléonien. L’ouvrage contient en outre d’intéressants développements sur les servitudes d’utilité publique. Nous avons, en outre, ici un exemplaire issu d’une des dernières éditions qui discute dans des notes substantielles les critiques doctrinales dont a fait l’objet l’ouvrage. (Dramard n° 1220).
in-8, demi-veau aubergine style Louis-Philippe, tit. doré sur dos lisse orné de dentelles et filets dorés, fers à froid sur les plats, tr. jaspées, (rares et légères épidermures au dos, coupes frottées et coins légt émoussés, rares piqûres et mouillures), VIII-598 p.
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