HATZFELD (Henri)

DU PAUPÉRISME À LA SÉCURITÉ SOCIALE 1850-1940

Lieu d’édition : Paris

Année d’édition : 1971

Editeur : Armand Colin

Description : in-8, br., (marques de bibl., note à l’encre sur la couv. lég. fanée), intérieur frais, 344 p.-[2 ff.].

« Trop rares sont les bonnes recherches consacrées à l’histoire de la pensée et des réformes sociales. Le travail de Guerrand avait retenu l’attention, il y a quelques années; celui d’Henri Hatzfeld s’inscrit dans la même ligne de probité et d’intelligence. On était déjà redevable à ce sociologue d’une étude sur l’évolution de la médecine. Il la prolonge ici en analysant, avec finesse, l’effort législatif consacré aux risques sociaux — ou tout au moins à certains d’entre eux : maternité, maladie, vieillesse — qui étaient jusqu’à une époque récente, un des aspects les plus négatifs de la condition ouvrière. (…) le livre s’ouvre par un chapitre consacré au paupérisme et à “l’incertitude de l’existence” marquant la situation de départ. Il analyse en détail les objections que le libéralisme classique opposait aux institutions de protection sociale et procède ensuite à l’examen des attitudes et des stratégies patronales et ouvrières face aux premières initiatives réformatrices. Sous le titre “le moteur et le frein”, il dresse enfin le bilan historique et sociologique du mouvement qui a ouvert aux Français, assez tardivement il faut le dire, les voies de la sécurité sociale généralisée. » (Jean-René, Tréanton, Revue française de sociologie, 1975, p. 123).

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« Trop rares sont les bonnes recherches consacrées à l’histoire de la pensée et des réformes sociales. Le travail de Guerrand avait retenu l’attention, il y a quelques années; celui d’Henri Hatzfeld s’inscrit dans la même ligne de probité et d’intelligence. On était déjà redevable à ce sociologue d’une étude sur l’évolution de la médecine. Il la prolonge ici en analysant, avec finesse, l’effort législatif consacré aux risques sociaux — ou tout au moins à certains d’entre eux : maternité, maladie, vieillesse — qui étaient jusqu’à une époque récente, un des aspects les plus négatifs de la condition ouvrière. (…) le livre s’ouvre par un chapitre consacré au paupérisme et à “l’incertitude de l’existence” marquant la situation de départ. Il analyse en détail les objections que le libéralisme classique opposait aux institutions de protection sociale et procède ensuite à l’examen des attitudes et des stratégies patronales et ouvrières face aux premières initiatives réformatrices. Sous le titre “le moteur et le frein”, il dresse enfin le bilan historique et sociologique du mouvement qui a ouvert aux Français, assez tardivement il faut le dire, les voies de la sécurité sociale généralisée. » (Jean-René, Tréanton, Revue française de sociologie, 1975, p. 123).

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Fiche technique

Lieu d’édition
Paris
Année d’édition
1971
Date d’édition
1971-01-01
Editeur
Armand Colin
Description
in-8, br., (marques de bibl., note à l’encre sur la couv. lég. fanée), intérieur frais, 344 p.-[2 ff.].

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