« Il est évidemment impossible de savoir quelle sera l’influence du travail de M. Ancel sur la jurisprudence (un arrêt récent de la Cour d’Aix-en-Provence, 17 mai 1976, Rev. crit. dr. internat, pr. 1977, 508, note Légier, maintient la compétence de la loi des effets du mariage et l’applique même à une donation immobilière entre époux...) ; mais, de toute façon, l’apport de cette thèse au droit international privé dans son ensemble est considérable. L’ampleur de la pensée de M. Ancel va bien au-delà du problème des donations entre époux et ce magnifique ouvrage, couronné des deux prix prestigieux que sont le prix Julliot de La Morandière et le prix Capitant, éclaire d’un jour nouveau maintes questions de droit international privé, dont, avant tout, celle des qualifications. » (Hélène gaudemet-Talon, RIDC n° 3/1978, p. 875 et s.).