BOUT (Roger)
LA GESTION D’AFFAIRES EN DROIT FRANÇAIS CONTEMPORAIN, Préface de Pierre Kayser, Bibl. de droit privé, t. CXXIV
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1972
Editeur : L.G.D.J.
Description : in-8, demi-veau vert (légt insolé) à coins, auteur et titre dorés sur dos à 5 nerfs, tranches de tête dorées, couvertures conservées, très bon état hormis quelques rares épidermures, mors légèrement marqués et coupes frottées, [cette thèse provient de la bibliothèque personnelle de Henry Solus avec un ENVOI DE L’AUTEUR À HENRY SOLUS], XV-504 p.
Cette thèse « constitue aujourd’hui l’ouvrage le plus documenté sur cette importante question. (…) L’ouvrage comprend deux parties bien entendu : 1. L’intention de gérer l’affaire d’autrui. 2. L’utilité de la gestion. Il montre, dans la première, l’ambiguïtéde la jurisprudence qui parfois admet la gestion d’affaires alors qu’il n’y avait pas même intention probable de gérer l’affaire d’autrui et, dans la seconde, l’opposition entre “l’utilité subjective et originale dans la gestion désintéressée” et “l’utilité objective et finale dans la gestion intéressée”. Les formules sont bonnes ; Malheureusement d’ailleurs parce que c’est le signe que la jurisprudence (et parfois la doctrine) déborde le cadre de l’institution. Mais ce n’est pas la faute de l’auteur qui doit constater le fait. » (René Rodière, in RIDC n° 2/1973, P. 439).
Mots clés : Droit commercial - Sociétés - Droit des Affaires
Cette thèse « constitue aujourd’hui l’ouvrage le plus documenté sur cette importante question. (…) L’ouvrage comprend deux parties bien entendu : 1. L’intention de gérer l’affaire d’autrui. 2. L’utilité de la gestion. Il montre, dans la première, l’ambiguïtéde la jurisprudence qui parfois admet la gestion d’affaires alors qu’il n’y avait pas même intention probable de gérer l’affaire d’autrui et, dans la seconde, l’opposition entre “l’utilité subjective et originale dans la gestion désintéressée” et “l’utilité objective et finale dans la gestion intéressée”. Les formules sont bonnes ; Malheureusement d’ailleurs parce que c’est le signe que la jurisprudence (et parfois la doctrine) déborde le cadre de l’institution. Mais ce n’est pas la faute de l’auteur qui doit constater le fait. » (René Rodière, in RIDC n° 2/1973, P. 439).
Fiche technique
- Lieu d’édition
- Paris
- Année d’édition
- 1972
- Date d’édition
- 1972-01-01
- Editeur
- L.G.D.J.
- Description
- in-8, demi-veau vert (légt insolé) à coins, auteur et titre dorés sur dos à 5 nerfs, tranches de tête dorées, couvertures conservées, très bon état hormis quelques rares épidermures, mors légèrement marqués et coupes frottées, [cette thèse provient de la bibliothèque personnelle de Henry Solus avec un ENVOI DE L’AUTEUR À HENRY SOLUS], XV-504 p.
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