PELLEGRIN (André)
DE LA NATURE JURIDIQUE DU PARTAGE D’ASCENDANT, Préface de Pierre Hébraud, Bibl. de droit privé, t. XXXI
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1961
Editeur : L.G.D.J.
Description : in-8, demi-veau vert (légt insolé) à coins, auteur et titre dorés sur dos à 5 nerfs, tranches de tête dorées, couvertures conservées, très bon état hormis quelques rares épidermures, mors légèrement marqués et coupes frottées, [cette thèse provient de la bibliothèque personnelle de Henry Solus avec un ENVOI DE L’AUTEUR À HENRY SOLUS], VIII-346 p.
La note de M. L. Engelhard-Grosjean parue dans la RIDC de 1963, résume la thèse ainsi : « L’auteur s’est donné pour propos dans ce livre très fouillé et très nourri d’étudier ce qu’est exactement le partage d’ascendant eu égard aux modifications apportées par la loi de 1938, aux interprétations de la jurisprudence, à l’évolution des mœurs juridiques et sociales. Un à un se dégagent les aspects fort complexes de la nature juridique de cette institution qui s’intègre au droit des successions mais glisse vers le droit des libéralités.Dans l’état actuel du droit, le partage d’ascendant n’est pas sans présenter des inconvénients. Des réformes sont de nouveau souhaitables. Mais on constate un important changement, de sens et de portée, des notions de succession, de patrimoine, d’héritage.Ne serait-il pas plus réaliste de remanier le droit commun plutôt que le point particulier du partage d’ascendant ? Mais ce n’est là qu’un vœu de l’auteur qui conclut en constatant que, dans la pratique, les notaires savent conseiller aux familles les clauses qui remédient aux défauts de lois, que seule corrompt notre époque instable ».Nous déduisons aux pages « coupées » qu’il s’agit des passages ayant attiré l’attention de J. Carbonnier : p. de garde à p. 9 ; 17 à 40 ; 81 à 88 ; 121 à 144 ; 217 à 232 ; 321 à la fin.
Mots clés : Droit civil Droit des biens Droit des successions
La note de M. L. Engelhard-Grosjean parue dans la RIDC de 1963, résume la thèse ainsi : « L’auteur s’est donné pour propos dans ce livre très fouillé et très nourri d’étudier ce qu’est exactement le partage d’ascendant eu égard aux modifications apportées par la loi de 1938, aux interprétations de la jurisprudence, à l’évolution des mœurs juridiques et sociales. Un à un se dégagent les aspects fort complexes de la nature juridique de cette institution qui s’intègre au droit des successions mais glisse vers le droit des libéralités.Dans l’état actuel du droit, le partage d’ascendant n’est pas sans présenter des inconvénients. Des réformes sont de nouveau souhaitables. Mais on constate un important changement, de sens et de portée, des notions de succession, de patrimoine, d’héritage.Ne serait-il pas plus réaliste de remanier le droit commun plutôt que le point particulier du partage d’ascendant ? Mais ce n’est là qu’un vœu de l’auteur qui conclut en constatant que, dans la pratique, les notaires savent conseiller aux familles les clauses qui remédient aux défauts de lois, que seule corrompt notre époque instable ».Nous déduisons aux pages « coupées » qu’il s’agit des passages ayant attiré l’attention de J. Carbonnier : p. de garde à p. 9 ; 17 à 40 ; 81 à 88 ; 121 à 144 ; 217 à 232 ; 321 à la fin.
Fiche technique
- Lieu d’édition
- Paris
- Année d’édition
- 1961
- Date d’édition
- 1961-01-01
- Editeur
- L.G.D.J.
- Description
- in-8, demi-veau vert (légt insolé) à coins, auteur et titre dorés sur dos à 5 nerfs, tranches de tête dorées, couvertures conservées, très bon état hormis quelques rares épidermures, mors légèrement marqués et coupes frottées, [cette thèse provient de la bibliothèque personnelle de Henry Solus avec un ENVOI DE L’AUTEUR À HENRY SOLUS], VIII-346 p.
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