ROTHE (Tancrède)

L’ESPRIT DU DROIT CHEZ LES ANCIENS

Lieu d’édition : Paris

Année d’édition : 1928

Editeur : Sirey

Description : in-8, br., non massicoté, (fané, marques de bibl.), II-156 p. + table.

Cet ouvrage n’est pas une histoire générale des législations antiques étudiées dans leurs grandes lignes : pour faire connaître leurs bases et leurs premiers principes, il expose, à la lumière de la philosophie du droit, les traits caractéristiques de son « esprit », envisagé comme « l’ensemble des règles rationnelles qui dominent la généralité des lois » et considéré chez quelques-uns de ses plus illustres interprètes ou théoriciens : un grand législateur, Moîse (dont beaucoup de lois positives sont passées en revue) ; trois grands philosophes, Platon, Aristote, Cicéron, dont est rapproché, à la fin du livre, un célèbre et lointain moraliste, Confucius.(…) Il représente des recherches si larges, dont les références sommaires abrégeront utilement la lecture d’éditions complètes ou critiques ; il les expose avec des vues si judicieuses et si élevées, où on aime à retrouver 1’« esprit » et la manière du savant et profond auteur de ce grand et remarquable Traité de droit naturel théorique et appliqué, dont M. Rothe, au seuil de son nouveau livre, rappelle avec une discrète mélancolie et une légitime confiance le vaste labeur, arrêté par la guerre, – provisoirement, espérons-le ; – il est consacré à des œuvres si capitales, si souvent utilisées ou mentionnées par les juristes du droit canon et du droit civil, comme par les théologiens, les philosophes, les littérateurs même du moyen âge, que nous avons cru pouvoir le signaler et devoir le louer ici. » (Guillaue Joseph, Bibliothèque de l’École des Chartes, t. 89/1928, p. 421 et s.).

Ce livre n’est plus disponible, mais vous pouvez nous laisser votre mail afin que nous enregistrions votre recherche. Vous serez ainsi prévenu lors de l’acquisition d’un nouvel exemplaire

Cet ouvrage n’est pas une histoire générale des législations antiques étudiées dans leurs grandes lignes : pour faire connaître leurs bases et leurs premiers principes, il expose, à la lumière de la philosophie du droit, les traits caractéristiques de son « esprit », envisagé comme « l’ensemble des règles rationnelles qui dominent la généralité des lois » et considéré chez quelques-uns de ses plus illustres interprètes ou théoriciens : un grand législateur, Moîse (dont beaucoup de lois positives sont passées en revue) ; trois grands philosophes, Platon, Aristote, Cicéron, dont est rapproché, à la fin du livre, un célèbre et lointain moraliste, Confucius.(…) Il représente des recherches si larges, dont les références sommaires abrégeront utilement la lecture d’éditions complètes ou critiques ; il les expose avec des vues si judicieuses et si élevées, où on aime à retrouver 1’« esprit » et la manière du savant et profond auteur de ce grand et remarquable Traité de droit naturel théorique et appliqué, dont M. Rothe, au seuil de son nouveau livre, rappelle avec une discrète mélancolie et une légitime confiance le vaste labeur, arrêté par la guerre, – provisoirement, espérons-le ; – il est consacré à des œuvres si capitales, si souvent utilisées ou mentionnées par les juristes du droit canon et du droit civil, comme par les théologiens, les philosophes, les littérateurs même du moyen âge, que nous avons cru pouvoir le signaler et devoir le louer ici. » (Guillaue Joseph, Bibliothèque de l’École des Chartes, t. 89/1928, p. 421 et s.).

49797

Fiche technique

Lieu d’édition
Paris
Année d’édition
1928
Date d’édition
1928-01-01
Editeur
Sirey
Description
in-8, br., non massicoté, (fané, marques de bibl.), II-156 p. + table.

Pas de commentaires client pour le moment.

Nouveau compte S'inscrire