L’HOMMEAU (Pierre de), sieur DU VERGER et CHALLINE (Paul)
MAXIMES GÉNÉRALES DU DROICT FRANÇOIS DIVISÉES EN TROIS LIVRES, avec les Notes & Observations de Me. P. Challine (…) sur les 285. dernières Maximes
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1665
Editeur : Théodore Girard
Description : in-4, veau brun, dos à nerfs orné, tr. jaspées, roulettes sur les coupes, (plats frottés, coins lég. émoussés, coiffes accidentées, mors fendus, tr. lég. rousseurs), 2 f.-293 - 173 p. + table.
Parmi les formes de la littérature juridique du XVIIème siècle, deux apparaissent comme nouvelles par rapport aux époques antérieures : Les "Institutes" qui recueillent le plus souvent dans l’ordre des Institutes de Justinien, les données du droit français et les "Maximes" qui s’affranchissent au contraire de l’ordre du droit romain pour présenter les questions qu’elles traitent en fonction d’une certaine hiérarchie juridique. Tel est le cas du présent volume qui débute par l’étude des droits du roi suivis des droits seigneuriaux et enfin des droits des particuliers. Cet ouvrage parut pour la première fois en 1614 son esprit de synthèse, l’exposé méthodique des Maximes et les explications de qualité qui sont données lui ont assuré une grande renommée et de nombreuses éditions dont celle que nous avons paraît être une des dernières, complétée par les Maximes relatives au droit privé qui n’avaient pas été traitées par l’auteur. Pierre de L’Hommeau, qui était conseiller du roi à la sénéchaussée de Saumur s’inscrit sur le plan de la théorie politique dans le prolongement de Bodin et l’affirmation d’une souveraineté royale la plus absolue possible. Recherché. État d’usage.
Parmi les formes de la littérature juridique du XVIIème siècle, deux apparaissent comme nouvelles par rapport aux époques antérieures : Les "Institutes" qui recueillent le plus souvent dans l’ordre des Institutes de Justinien, les données du droit français et les "Maximes" qui s’affranchissent au contraire de l’ordre du droit romain pour présenter les questions qu’elles traitent en fonction d’une certaine hiérarchie juridique. Tel est le cas du présent volume qui débute par l’étude des droits du roi suivis des droits seigneuriaux et enfin des droits des particuliers. Cet ouvrage parut pour la première fois en 1614 son esprit de synthèse, l’exposé méthodique des Maximes et les explications de qualité qui sont données lui ont assuré une grande renommée et de nombreuses éditions dont celle que nous avons paraît être une des dernières, complétée par les Maximes relatives au droit privé qui n’avaient pas été traitées par l’auteur. Pierre de L’Hommeau, qui était conseiller du roi à la sénéchaussée de Saumur s’inscrit sur le plan de la théorie politique dans le prolongement de Bodin et l’affirmation d’une souveraineté royale la plus absolue possible. Recherché. État d’usage.
Fiche technique
- Lieu d’édition
- Paris
- Année d’édition
- 1665
- Date d’édition
- 1665-01-01
- Editeur
- Théodore Girard
- Description
- in-4, veau brun, dos à nerfs orné, tr. jaspées, roulettes sur les coupes, (plats frottés, coins lég. émoussés, coiffes accidentées, mors fendus, tr. lég. rousseurs), 2 f.-293 - 173 p. + table.
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