DANTOINE (Jean Baptiste)

LES RÈGLES DU DROIT CANON, dans le même ordre qu’elles sont disposées au dernier titre du cinquième Livre du Sexte, et au dernier titre du cinquième Livre des Decretales, traduites en françois avec des explications et des commentaires sur chaque règle

Lieu d’édition : Lyon

Année d’édition : 1720

Editeur : C. Plaignard

Description : in-4, plein veau, dos à nerfs orné, tr. jaspées, roulettes sur les coupes, (épidermures sur les plats, coins émoussés, rousseurs), 8 f.-533 p.-21 f.

(Dupin n° 372). Un des canoniste français les plus connus. Le texte a en outre le mérite d’être rédigé en langue vulgaire. Il se présente sous la forme de l’exposé de règles et d’adages commentés et dont on constate qu’elles n’ont pas un objet strictement ecclésiastique. V. ainsi les règles relatives au droit des obligations, au droit de la procédure ("on ne doit pas mettre en exécution la promesse d’une chose illicite", "pour deux chefs insérés dans un acte sous la clause alternative il suffit au débiteur pour s’acquitter de son obligation d’exécuter l’un ou l’autre à son choix", "celui qui est recevable pour suivre une action en qualité de demandeur est à plus forte raison recevable à opposer une exception en qualité de défendeur", "ce que quelqu’un fait par le ministère d’autrui doit être regardé comme s’il le faisait lui-même", "celui qui manque à sa parole et qui n’exécute pas ce qu’il a promis ne peut pas raisonnablement prétendre qu’on lui tienne celle qu’on lui a donnée", "on ne saurait transférer en faveur d’autrui tout droit sur la chose que l’on en a soi-même"…). Texte clair.

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(Dupin n° 372). Un des canoniste français les plus connus. Le texte a en outre le mérite d’être rédigé en langue vulgaire. Il se présente sous la forme de l’exposé de règles et d’adages commentés et dont on constate qu’elles n’ont pas un objet strictement ecclésiastique. V. ainsi les règles relatives au droit des obligations, au droit de la procédure ("on ne doit pas mettre en exécution la promesse d’une chose illicite", "pour deux chefs insérés dans un acte sous la clause alternative il suffit au débiteur pour s’acquitter de son obligation d’exécuter l’un ou l’autre à son choix", "celui qui est recevable pour suivre une action en qualité de demandeur est à plus forte raison recevable à opposer une exception en qualité de défendeur", "ce que quelqu’un fait par le ministère d’autrui doit être regardé comme s’il le faisait lui-même", "celui qui manque à sa parole et qui n’exécute pas ce qu’il a promis ne peut pas raisonnablement prétendre qu’on lui tienne celle qu’on lui a donnée", "on ne saurait transférer en faveur d’autrui tout droit sur la chose que l’on en a soi-même"…). Texte clair.

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Fiche technique

Lieu d’édition
Lyon
Année d’édition
1720
Date d’édition
1720-01-01
Editeur
C. Plaignard
Description
in-4, plein veau, dos à nerfs orné, tr. jaspées, roulettes sur les coupes, (épidermures sur les plats, coins émoussés, rousseurs), 8 f.-533 p.-21 f.

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