BRUNEAU (Antoine)

NOUVEAU TRAITÉ DES CRIÉES Contenant les Procédures pour faire toutes fortes de Décrets suivant les Coutumes, Ordonnances, Arrêts & Règlements sur ce intervenus jusques à présent. Ouvrage nécessaire à tous Juges, Avocats, Procureurs, Huissiers & Praticiens pour connaître les nullités qui se rencontrent dans des Criées. Le tout conforme à l’usage du Palais & des autres Juridictions

Lieu d’édition : Paris

Année d’édition : 1678

Editeur : Jean Guignard

Description : in-12 (15,7 x 9 cm), pl. veau noisette, tit. sur dos à 5 nerfs orné de fleurons, dentelles et filets encadrants dorés, roulette dorée sur les coupes, tr. mouchetées rouge, 1 bandeau et lettrines, (1 épidermure sur le dos avec ptt enfoncement et mq. de cuir, coins émoussés avec mq.), intérieur très frais, [6 ff.]-228 p.

A. Bruneau traîne depuis sa propre époque deux caractéristiques sur lesquels ses contemporains sont unanimes. La première est à mettre à l’actif de l’auteur dont tout le monde s’accorde à vanter sa culture qu’il met au service de ses analyses et l’étendue de ses connaissances qu’il met à profit dans ses traités (cf. Jousse, Traité de la justice criminelle, 1771, col. 527). La seconde, hélas, constitue le talon d’Achille de ses ouvrages : Dupin, (réf. 1699), Moreri (Le grand dictionnaire historique, 1759, T. II, P. 329) ou encore Jousse (cf. infra), tous s’accordent pour reconnaître à l’auteur un désordre peu commun dans ses exposés où fourmillent “une infinité de remarques, d’observations et de citations sur des matières qui n’ont aucun rapport au [traité]”. Il faudra cependant attendre Héricourt qui puisa nombre d’informations chez Bruneau pour qu’un nouveau traité sur la matière paraisse (Le traité de la vente des immeubles par décret, 1727). Première édition.

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A. Bruneau traîne depuis sa propre époque deux caractéristiques sur lesquels ses contemporains sont unanimes. La première est à mettre à l’actif de l’auteur dont tout le monde s’accorde à vanter sa culture qu’il met au service de ses analyses et l’étendue de ses connaissances qu’il met à profit dans ses traités (cf. Jousse, Traité de la justice criminelle, 1771, col. 527). La seconde, hélas, constitue le talon d’Achille de ses ouvrages : Dupin, (réf. 1699), Moreri (Le grand dictionnaire historique, 1759, T. II, P. 329) ou encore Jousse (cf. infra), tous s’accordent pour reconnaître à l’auteur un désordre peu commun dans ses exposés où fourmillent “une infinité de remarques, d’observations et de citations sur des matières qui n’ont aucun rapport au [traité]”. Il faudra cependant attendre Héricourt qui puisa nombre d’informations chez Bruneau pour qu’un nouveau traité sur la matière paraisse (Le traité de la vente des immeubles par décret, 1727). Première édition.

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Fiche technique

Lieu d’édition
Paris
Année d’édition
1678
Date d’édition
1678-01-01
Editeur
Jean Guignard
Description
in-12 (15,7 x 9 cm), pl. veau noisette, tit. sur dos à 5 nerfs orné de fleurons, dentelles et filets encadrants dorés, roulette dorée sur les coupes, tr. mouchetées rouge, 1 bandeau et lettrines, (1 épidermure sur le dos avec ptt enfoncement et mq. de cuir, coins émoussés avec mq.), intérieur très frais, [6 ff.]-228 p.

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