[Chine], AUBIN (Françoise)

LES SOULÈVEMENTS POPULAIRES EN CHINE DU NORD ENTRE 1214 ET 1230, Thèse présentée et soutenue à l’Université de Paris, Faculté de droit et des sciences économiques, Président : Jean Carbonnier, Suffragants : Maurice Duverger ; M. Imbert

Lieu d’édition : Paris

Année d’édition : [1965]

Editeur : [non renseigné]

Description : 2 vol. in-8, rel. cartonnée thermocollée, étiquettes avec nom de l’auteur et numéros de volume et de thèse manuscrits collés sur les premiers plats, présence de tableaux et d’une vingtaine de cartes établies par l’auteur, d’un résumé de la thèse sur un feuillet, d’un courrier du service des thèses du 31 mars 1965, du plan sur feuillet volant de la thèse avec des corrections manuscrites, ainsi que du rapport d’activité pour l’année 1964, plus de 20 cartes hors texte en partie dépliantes et une vingtaine de tableaux sur feuillets dépliants, (couv. lég. passée, feuilles lég. jaunies), intérieur très frais, [Cet ouvrage provient de la bibliothèque personnelle du professeur Jean Carbonnier (1908-2003)], XXXIII-299 / 22-140-XXVI ff.

Cette thèse d’une auteur devenue une référence, historienne de la société mongole au XIIIe siècle et de la révolution genghiskhanide dans le cadre de cette recherche, s’orientant vers l’anthropologie et la sociologie, notamment fondatrice des études sur l’islam sinophone, connut une publication, plus de dix ans après sa soutenance, en 1976. En analysant le soulèvement des populations chinoises qui a éclaté dans le Chantong en 1214, mené par les Casaques rouges, pour finalement tourner court vers 1222 avec l’arrivée des Mongols conduits par Gengis-khan, l’auteur livre une comparaison avec des soulèvements européens et éclaire sous un nouvel angle l’histoire des soulèvements populaires ainsi que le concept de société rebelle, cette « société juridique sui generis dont le système reflète la structure politique et le mode de pensée de la société globale ». Très rare.

Mots clés : Sciences politiques Droit constitutionnel Histoire Sociologie Chine

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Cette thèse d’une auteur devenue une référence, historienne de la société mongole au XIIIe siècle et de la révolution genghiskhanide dans le cadre de cette recherche, s’orientant vers l’anthropologie et la sociologie, notamment fondatrice des études sur l’islam sinophone, connut une publication, plus de dix ans après sa soutenance, en 1976. En analysant le soulèvement des populations chinoises qui a éclaté dans le Chantong en 1214, mené par les Casaques rouges, pour finalement tourner court vers 1222 avec l’arrivée des Mongols conduits par Gengis-khan, l’auteur livre une comparaison avec des soulèvements européens et éclaire sous un nouvel angle l’histoire des soulèvements populaires ainsi que le concept de société rebelle, cette « société juridique sui generis dont le système reflète la structure politique et le mode de pensée de la société globale ». Très rare.
47955

Fiche technique

Lieu d’édition
Paris
Année d’édition
[1965]
Date d’édition
2022-01-01
Editeur
[non renseigné]
Description
2 vol. in-8, rel. cartonnée thermocollée, étiquettes avec nom de l’auteur et numéros de volume et de thèse manuscrits collés sur les premiers plats, présence de tableaux et d’une vingtaine de cartes établies par l’auteur, d’un résumé de la thèse sur un feuillet, d’un courrier du service des thèses du 31 mars 1965, du plan sur feuillet volant de la thèse avec des corrections manuscrites, ainsi que du rapport d’activité pour l’année 1964, plus de 20 cartes hors texte en partie dépliantes et une vingtaine de tableaux sur feuillets dépliants, (couv. lég. passée, feuilles lég. jaunies), intérieur très frais, [Cet ouvrage provient de la bibliothèque personnelle du professeur Jean Carbonnier (1908-2003)], XXXIII-299 / 22-140-XXVI ff.

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