LE CONTRAT SOCIAL ET LE IDÉES POLITIQUES DE J.-J. ROUSSEAU
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1909
Editeur : Arthur Rousseau
Description : in-8, br. non coupé, (cous. salie), XIII-443 p.
« Dans ce commentaire du Contrat social, H. Rodet se propose de rechercher la signification de cette vogue dont bénéficient les idées de Jean-Jacques Rousseau, de faire voir comment elles influent sur les doctrines contemporaines, et d’établir “ce qu’il y a lieu d’accepter ou de rejeter dans les théories politiques de Rouseau”.(…) l’ouvrage de M. R. est composé d’une manière simple et claire ; il se divise en deux parties, respectivement consacrées à l'analyse méthodologique des idées de Rousseau touchant la politique intérieure et la politique extérieure. Il débute par une description de l'esprit public et du milieu social à l’époque où parut le Contrat, dont les traits et les couleurs sont empruntés principalement à Taine. Dans une esquisse psychologique de l’esprit de Rousseau, qui vise à l’impartialité, M. R. se montre un peu sévère (…).La deuxième partie du livre de M. R. , qu’il consacre à la politique extérieure, est la plus neuve, comma aussi la plus personnelle. (…) elle indique exactement les idées nouvelles apportées par Rousseau à la doctrine du droit international. » (Picard Roger, Revue d’histoire moderne et contemporaine, n° 1/1909, p. 83 et s.).
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« Dans ce commentaire du Contrat social, H. Rodet se propose de rechercher la signification de cette vogue dont bénéficient les idées de Jean-Jacques Rousseau, de faire voir comment elles influent sur les doctrines contemporaines, et d’établir “ce qu’il y a lieu d’accepter ou de rejeter dans les théories politiques de Rouseau”.(…) l’ouvrage de M. R. est composé d’une manière simple et claire ; il se divise en deux parties, respectivement consacrées à l'analyse méthodologique des idées de Rousseau touchant la politique intérieure et la politique extérieure. Il débute par une description de l'esprit public et du milieu social à l’époque où parut le Contrat, dont les traits et les couleurs sont empruntés principalement à Taine. Dans une esquisse psychologique de l’esprit de Rousseau, qui vise à l’impartialité, M. R. se montre un peu sévère (…).La deuxième partie du livre de M. R. , qu’il consacre à la politique extérieure, est la plus neuve, comma aussi la plus personnelle. (…) elle indique exactement les idées nouvelles apportées par Rousseau à la doctrine du droit international. » (Picard Roger, Revue d’histoire moderne et contemporaine, n° 1/1909, p. 83 et s.).