ANDERSON (Perry)

LE NOUVEAU VIEUX MONDE. Sur le destin d’un auxiliaire de l’ordre américain, traduit de l’anglais par Cécile Arnaud, coll. Contre-feux

Lieu d’édition : Marseille [Londres/New York]

Année d’édition : 2011 [2009]

Editeur : Agone [Verso]

Description : in-8, br., (couv. lég. passée), bon état malgré le défaut souligné, 738 p.

« Dans le contexte de la montée générale du néolibéralisme, l’autosatisfaction des élites européennes et de leurs porte-parole accompagne le mépris des populations. À ce niveau, l’absence d’un réel clivage politique empêche l’émergence d’une véritable sphère publique en Europe. La bonne conscience entretient les illusions, comme celle d’une autonomie vis-à-vis des États-Unis. Entre la réalité d’un régime politique produisant des effets plus ou moins uniformes sur l’ensemble de son territoire et l’intensité incomparablement supérieure de la vie interne de chacune des nations qui la composent, l’Europe ressemble beaucoup à un objet impossible.Ce livre veut contribuer à rompre le concert d’échos médiatiques qu’est aujourd’hui l’Union européenne pour en faire un objet de véritables choix politiques. Une partie du chapitre consacré à la France est déjà parue sous le titre La Pensée tiède (2005), ici actualisée et replacée au sein d’une réflexion globale sur place de la vieille Europe dans le nouvel ordre mondial. L’auteur rassemble ici quinze ans d’observations et de réflexions pour retrouver le fil rompu des grands penseurs politiques de l’Europe.Alternant les points de vue généraux sur l’organisation du continent et sur les réalités nationales, il envisage aussi bien la question des origines historiques que les enjeux les plus actuels – comme l’élargissement vers l’Orient. »
10 €
(Réf. 46185)
TTC

Mots clés : Union européenne Europe Essai

« Dans le contexte de la montée générale du néolibéralisme, l’autosatisfaction des élites européennes et de leurs porte-parole accompagne le mépris des populations. À ce niveau, l’absence d’un réel clivage politique empêche l’émergence d’une véritable sphère publique en Europe. La bonne conscience entretient les illusions, comme celle d’une autonomie vis-à-vis des États-Unis. Entre la réalité d’un régime politique produisant des effets plus ou moins uniformes sur l’ensemble de son territoire et l’intensité incomparablement supérieure de la vie interne de chacune des nations qui la composent, l’Europe ressemble beaucoup à un objet impossible.Ce livre veut contribuer à rompre le concert d’échos médiatiques qu’est aujourd’hui l’Union européenne pour en faire un objet de véritables choix politiques. Une partie du chapitre consacré à la France est déjà parue sous le titre La Pensée tiède (2005), ici actualisée et replacée au sein d’une réflexion globale sur place de la vieille Europe dans le nouvel ordre mondial. L’auteur rassemble ici quinze ans d’observations et de réflexions pour retrouver le fil rompu des grands penseurs politiques de l’Europe.Alternant les points de vue généraux sur l’organisation du continent et sur les réalités nationales, il envisage aussi bien la question des origines historiques que les enjeux les plus actuels – comme l’élargissement vers l’Orient. »
46185

Fiche technique

Lieu d’édition
Marseille [Londres/New York]
Année d’édition
2011 [2009]
Date d’édition
2011-01-01
Editeur
Agone [Verso]
Description
in-8, br., (couv. lég. passée), bon état malgré le défaut souligné, 738 p.

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