Nous sommes en présence de la cinquième édition d’un ouvrage qui, lors de sa première parution, a permis aux deux auteurs de « combler une lacune de la science juridique. L’étude de la promotion immobilière n’avait fait l’objet jusqu’alors que de recherches partielles et il manquait la réflexion d’ensemble qui permet de comprendre la matière (elle est complexe) et d’en suivre l’évolution (elle est rapide). » Ce précis analyse donc un « droit original qui s’est enrichi considérablement au cours des [années 60 et 70] mais quo sera vraisemblablement encore remis sur le chantier. Les intérêts en présence sont considérables ; ils sont aussi contradictoire et les pressions qui s’exercent dans un sens ou dans un autre ne permettent pas toujours de trouver les solutions sereines et adéquates. Mais qu’importe ! Il fallait d’abord faire le point : l’ouvrage commenté a atteint son but. » [F. Moderne, RIDC, 1978, n° 30-2, p. 702-703]