DESJEUX (Xavier)

LA CONVENTION DE ROME (10-26 OCTOBRE 1961), Étude de la protection des artistes, interprètes ou exécutants, des producteurs de phonogrammes et des organismes de radiodiffusion, Préface de Henri Desbois, Bibl. de droit privé, t. LXXV

Lieu d’édition : Paris

Année d’édition : 1966

Editeur : L.G.D.J.

Description : in-8, br., non massicoté, (couv. fanée, feuilles lég. jaunies), intérieur frais, VI-288 p.

« La Convention [des 10 et 26 octobre 1961] met en lumière l’acuité des problèmes juridiques que pose le développement des moyens modernes de diffusion des œuvres littéraires et artistiques. M. Desjeux a examiné avec beaucoup de méthode et de finesse les textes souvent complexes du nouveau traité. » Tandis que « dans la préface qu’il a rédigée pour cet ouvrage, M. le Professeur Desbois explique bien en quoi la Convention de Rome peut susciter l’étonnement et l’inquiétude. L’étonnement, parce que, alors que parmi ses bénéficiaires, ce sont les artistes interprètes ou exécutants dont les activités se rapprochent le plus de celles de véritables auteurs, c’est cette catégorie que la Convention protège le moins. L’inquiétude, parce que, quoique la Convention déclare ne vouloir en rien porter atteinte aux droits des auteurs, il semble bien que l’octroi d’une protection aux auxiliaires de la création artistique risque fort de se faire peu ou prou au détriment de la protection traditionnellement accordée aux auteurs. » [A. Françon, RIDC, 1967, n° 19-2, p. 517-518]
140 €
(Réf. 45605)
TTC

Mots clés : Propriété littéraire artistique & industrielle

« La Convention [des 10 et 26 octobre 1961] met en lumière l’acuité des problèmes juridiques que pose le développement des moyens modernes de diffusion des œuvres littéraires et artistiques. M. Desjeux a examiné avec beaucoup de méthode et de finesse les textes souvent complexes du nouveau traité. » Tandis que « dans la préface qu’il a rédigée pour cet ouvrage, M. le Professeur Desbois explique bien en quoi la Convention de Rome peut susciter l’étonnement et l’inquiétude. L’étonnement, parce que, alors que parmi ses bénéficiaires, ce sont les artistes interprètes ou exécutants dont les activités se rapprochent le plus de celles de véritables auteurs, c’est cette catégorie que la Convention protège le moins. L’inquiétude, parce que, quoique la Convention déclare ne vouloir en rien porter atteinte aux droits des auteurs, il semble bien que l’octroi d’une protection aux auxiliaires de la création artistique risque fort de se faire peu ou prou au détriment de la protection traditionnellement accordée aux auteurs. » [A. Françon, RIDC, 1967, n° 19-2, p. 517-518]
45605

Fiche technique

Lieu d’édition
Paris
Année d’édition
1966
Date d’édition
1966-01-01
Editeur
L.G.D.J.
Description
in-8, br., non massicoté, (couv. fanée, feuilles lég. jaunies), intérieur frais, VI-288 p.

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