Ouvrage organisé dans une logique comparatiste. En première partie, le rapporteur propose l’analyse du « Modèle français de détention et de gestion des capitaux - la grande rupture - » avec « l’entrée en force des normes anglo-saxonnes » et l’interrogation de de l’adaptabilité de ce nouveau modèle avec le problèmes frontières (relution, O.P.A., problème de nationalité de l’entreprise et du centre de décision). En deuxième partie, il met en lumière « la concurrence des autres modèles actionnariaux - convergence et résistances - », concernant tant la « force attractive des économies de marchés financiers (Grande-Bretagne, États-Unis) », que la « résistance des économies de cœur financier (Allemagne, Japon) ». Ouvrage désormais âgé de 20 ans mais marqué d’une grande actualité finalement.