FOURRIER (Charles)
LA LIBERTÉ D’OPINION DU FONCTIONNAIRE, Préface Charles Eisenmann, Bibl. de droit public, t. VI
Lieu d’édition : Paris
Année d’édition : 1957
Editeur : L.G.D.J.
Description : in-8, demi-basane à coins, tit. doré sur dos à cinq nerfs, couv. cons., ENVOI DE L’AUTEUR AU PROFESSEUR WALINE, (dos insolé), bon état, [ce livre provient de la bibliothèque personnelle de Marcel et Jean Waline], XIII-466 p.
« Si une thèse de doctorat doit être, comme le mot le suggère, la défense et la démonstration d’une opinion, nul doute que la thèse de doctorat en droit de M. Charles Fourrier, éditée dans la collection “Bibliothèque de droit public” sous le titre “La liberté d’opinion du fonctionnaire” et le sous-titre : “Essai de droit public comparé : France, Grande-Bretagne, Etats-Unis, U.R. S. S., Allemagne, Suisse, Belgique, etc.”, soit vraiment une « thèse » authentique. Comment ne le serait-elle pas alors que, dans son avant-propos, l’auteur prend soin de rappeler, après Charles Péguy, qu’ “une théorie juste n’est pas forcément celle qui n’est jamais battue, mais qu’une théorie fausse est toujours celle qui ne se bat pas” ? Quant au contenu même de la « thèse » soutenue, il suffit d’ouvrir la table des matières pour apercevoir en quoi elle consiste. L’ouvrage est en effet divisé en trois Titres dont le premier est intitulé : “Le fonctionnaire vassalisé”, le second : “Le fonctionnaire politiquement stérilisé”, alors que le troisième s’appelle : “Vers la libération du fonctionnaire” et débouche sur un “sous-titre” final dont on ne peut douter qu’il constitue la pointe extrême “vers la libération”, sous-titre final intitulé lui-même : “Le fonctionnaire dans la société sans classe (Union soviétique)”. La démonstration, qu’évoquent parfaitement ces formules, est fort bien résumée par l’auteur dans une conclusion qui en reprend très clairement, les articulations. » (A. de Laubadère, RIDC n° 1/1958, p. 199 et s.)
Mots clés : Droit administratif Fonction publique
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« Si une thèse de doctorat doit être, comme le mot le suggère, la défense et la démonstration d’une opinion, nul doute que la thèse de doctorat en droit de M. Charles Fourrier, éditée dans la collection “Bibliothèque de droit public” sous le titre “La liberté d’opinion du fonctionnaire” et le sous-titre : “Essai de droit public comparé : France, Grande-Bretagne, Etats-Unis, U.R. S. S., Allemagne, Suisse, Belgique, etc.”, soit vraiment une « thèse » authentique. Comment ne le serait-elle pas alors que, dans son avant-propos, l’auteur prend soin de rappeler, après Charles Péguy, qu’ “une théorie juste n’est pas forcément celle qui n’est jamais battue, mais qu’une théorie fausse est toujours celle qui ne se bat pas” ? Quant au contenu même de la « thèse » soutenue, il suffit d’ouvrir la table des matières pour apercevoir en quoi elle consiste. L’ouvrage est en effet divisé en trois Titres dont le premier est intitulé : “Le fonctionnaire vassalisé”, le second : “Le fonctionnaire politiquement stérilisé”, alors que le troisième s’appelle : “Vers la libération du fonctionnaire” et débouche sur un “sous-titre” final dont on ne peut douter qu’il constitue la pointe extrême “vers la libération”, sous-titre final intitulé lui-même : “Le fonctionnaire dans la société sans classe (Union soviétique)”. La démonstration, qu’évoquent parfaitement ces formules, est fort bien résumée par l’auteur dans une conclusion qui en reprend très clairement, les articulations. » (A. de Laubadère, RIDC n° 1/1958, p. 199 et s.)
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Fiche technique
- Lieu d’édition
- Paris
- Année d’édition
- 1957
- Date d’édition
- 1957-01-01
- Editeur
- L.G.D.J.
- Description
- in-8, demi-basane à coins, tit. doré sur dos à cinq nerfs, couv. cons., ENVOI DE L’AUTEUR AU PROFESSEUR WALINE, (dos insolé), bon état, [ce livre provient de la bibliothèque personnelle de Marcel et Jean Waline], XIII-466 p.
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