LOYSEL (Antoine), LAURIÈRE (Eusèbe de), DUPIN (Eugène), LABOULAYE (Édouard)

INSTITUTES COUTUMIÈRES D’ANTOINE LOYSEL ou MANUEL DE PLUSIEURS ET DIVERSES RÈGLES, SENTENCES ET PROVERBES, TANT ANCIENS QUE MODERNES DU DROIT COUTUMIER ET PLUS ORDINAIRE DE LA FRANCE avec les notes d’Eusèbe de LAURIÈRE. Nouvelle édition, revue, corrigée et augmentée par M. DUPIN Édouard LABOULAYE

Lieu d’édition : Genève [Paris]

Année d’édition : 1971 [1846]

Editeur : Slatkine [Durand / Videcoq père et fils / Franck et Michelsen]

Description : 2 t. en 1 vol. in-8, pleine toile rouge éd., tit. & tom. dorés sur dos lisse, (rel. frottée, coins et bords légt émoussés), CXXVI-432 / 522 p.

Un monument du droit français, publié pour la première fois en 1610, dans un recueil des œuvres de l’auteur puis de manière séparée en 1646. C’est une collation de tous les dictons judiciaires et coutumiers, mais aussi une invention d’une partie d’entre eux. Nous disposons de l’édition augmentée des notes d’E. de Laurière. Dupin ajoute pour cette édition : « On regarde cet ouvrage comme le meilleur de ceux que de Laurière a écrits » (Dupin, réf. 1162). Devant un tel monument, on pourrait multiplier les citations, souligner que nombre de ces dictons sont passés dans le langage courant. mais on préférera en donner quelques unes plus rares en exemple : « en nul temps on ne peut mener porc au pré », du fait des productions de lisier, « qui épouse la femme épouse les dettes » ; « Il ne plaisir qui ne veut » ; « pauvreté n’est pas vice mais en grande pauvreté n’y a pas grande loyauté ». chacune de ces citations est complétée de sa source et son explication. La présente édition correspond à une réédition de l’ouvrage de 1846.

Mots clés : Droit ancien - Histoire du droit Coutumes

Ce livre n’est plus disponible, mais vous pouvez nous laisser votre mail afin que nous enregistrions votre recherche. Vous serez ainsi prévenu lors de l’acquisition d’un nouvel exemplaire
Un monument du droit français, publié pour la première fois en 1610, dans un recueil des œuvres de l’auteur puis de manière séparée en 1646. C’est une collation de tous les dictons judiciaires et coutumiers, mais aussi une invention d’une partie d’entre eux. Nous disposons de l’édition augmentée des notes d’E. de Laurière. Dupin ajoute pour cette édition : « On regarde cet ouvrage comme le meilleur de ceux que de Laurière a écrits » (Dupin, réf. 1162). Devant un tel monument, on pourrait multiplier les citations, souligner que nombre de ces dictons sont passés dans le langage courant. mais on préférera en donner quelques unes plus rares en exemple : « en nul temps on ne peut mener porc au pré », du fait des productions de lisier, « qui épouse la femme épouse les dettes » ; « Il ne plaisir qui ne veut » ; « pauvreté n’est pas vice mais en grande pauvreté n’y a pas grande loyauté ». chacune de ces citations est complétée de sa source et son explication. La présente édition correspond à une réédition de l’ouvrage de 1846.
51080

Fiche technique

Lieu d’édition
Genève [Paris]
Année d’édition
1971 [1846]
Date d’édition
1971-01-01
Editeur
Slatkine [Durand / Videcoq père et fils / Franck et Michelsen]
Description
2 t. en 1 vol. in-8, pleine toile rouge éd., tit. & tom. dorés sur dos lisse, (rel. frottée, coins et bords légt émoussés), CXXVI-432 / 522 p.

Pas de commentaires client pour le moment.

Nouveau compte S'inscrire