Dans cet article l’auteur souligne qu’il réexamine cette question qui a fait d’objet d’amples débats parce que « le problème proposé paraît apte à mettre en valeur des idées théoriques antérieurement exposées par moi, je l’ai choisi à titre d’“exemplification” nouvelle ». Et il ajoute « une large conception du droit positif appuyée sur des bases d’un idéal supérieur, développée par une technique précise, éclairée des expérience de l’histoire et du droit comparé aboutissant à une interprétation pénétrante de toutes les données et de tous les moyens de la règle juridique peut seule en pareille matière fournir les éléments indispensables à un jugement pleinement et solidement motivé ».