Quel bel hommage que la note bibliographique de André Tunc à la RIDC (n° 2/1995, p.617 et s.) : « Il est différentes manières de profiter de ce livre. On peut le lire “consciencieusement”, de la première page à la dernière. Ce ne sera pas temps perdu : on aura maintes occasions de s’arrêter et de s’enrichir. On peut aussi le lire comme on lit Montaigne ou Vauvenargues : en l’ouvrant au hasard pour s’en délecter. Mais la pensée de Michel Villey mérite aussi une étude plus systématique. La lecture complète de ces carnets est utile à qui veut étudier l’ensemble de la pensée de l’auteur. À l’intention de qui recherche seulement sur un point donné l’approfondissement de cette pensée, Marie-Anne Frison-Roche et Christophe Jamin ont pris la peine de composer un long et précieux index analytique ».