« La présente étude a le grand mérite d’examiner les choses de plus près et de fournir, en même temps qu’une analyse très claire des lois romaines et barbares, un résumé des nombreuses controverses entretenues à leur sujet par les auteurs allemands. Pour chaque loi sont ainsi examinés la vocation reconnue à la mère et aux parents maternels (souvenir d’un matriarcat primitif ?), les droits attribués aux agnats, aux ascendants, aux parents ou aux vicini, enfin la distinction des biens en propres et en acquêts. Modestement, l’auteur conclut que tout au long de l’époque franque “la succession n’est pas organisée avec la même netteté qu’à Rome” ». (Paul Ourliac, Cahiers de civilisation médiévale, n° octobre-décembre/1979, p. 414 et s.).