Ouvrage mythique par excellence, il fut, l’année de sa publication, condamné par arrêt du parlement de Toulouse. Ceci explique que la seconde et dernière édition, de 1621, fut éditée à Genève. Dans Les recueils d’arrêts et dictionnaires de jurisprudence (éd. La Mémoire du Droit, Paris 2005), Le Marc’Hadour explique, qu’au xviie siècle les seuls recueils de référence, faisant autorités étaient ceux de La Roche-Flavin et Papon. Ils continueront d’être cité au xviiie siècle notamment par Lebrun de la Rochette, Despeisses, Lange et Bruneau. Sur les arrestographes toulousains, lire J. Poumarède (idid.).