« Après la Libération, des hommes se présentent aux élections sous l’étiquette progressiste et créent en 1950 l’Union progressiste. Cette expérience marginale, proche du communisme mais qui refuse de s’y intégrer, est celle d’une minorité qui séduit difficilement l’électeur préoccupé de voter utile et qui ne réussit pas à apparaître à l’opinion comme véritablement différente du P. C. dont elle veut rester l’alliée. De l’histoire d’un échec J. V. tire des indications intéressant la stratégie politique et les comportements électoraux ». (RFSP, 1968, n° 6 ; P. 1330)