Professés deux avant la publication de la version imprimée (Les grandes œuvres politiques de Machiavel à nos jours) il en annonce une partie (étude de Machiavel, de Bodin, de Richelieu, de Hobbes, de Locke, de Montesquieu, de Rousseau ou de Sieyès, Tocqueville, Marx, Lénine, Hitler) mais il ajoute d’autres auteurs qui n’ont pas été reprises dans la version éditée (l’antiquité païenne et le moyen-âge chrétien ; le testament politique de Richelieu ; les considérations sur la France de Joseph de Maistre ; les pensées pour l’action de Napoléon, le Cours de politique constitutionnelle de Benjamin Constant) et évoque certains auteurs plus récents (Prévost-Paradol, La France nouvelle ; Stuart Mill, Sur la liberté ; Henri de Man, Au delà du marxisme ; J. Burnham, L’ère des organisateurs ; B. de Jouvenel, Du pouvoir). On pourrait peut-être d’ailleurs s’interroger sur la possibilité de d’éditer aujourd’hui ce complément à un ouvrage qui est devenu un des classiques de la science politique.