Ouvrage paru avec la prise de conscience des historiens du XVIème siècle « désormais assez maîtres de leur matières pour tenter des syntèses ». L’ouvrage de Zeller est le fruit d’un « historien d’esprit réaliste, et son livre, écrit d’une plume alerte, apparaît comme un ouvrage d’initiation, d’ailleurs très poussée, d’une lecture aussi agréable que le permet l’austérité du sujet » [G. Tessier, Bibl. de l’École des chartes, 1948, n° 107-2, p. 283-285], consacré aux diverses institutions politiques (anciens pouvoirs, royauté, église comme enseignement et assisntance) amorçant leur mutation.