« Le professeur Gilli sait dire en peu de pages, et clairement, des choses importantes et originales : ce sont des qualités qui se font rares dans la littérature juridique. Malgré son titre ce petit livre dense et stimulant ne parle pas de la propriété en général, mais seulement de la propriété foncière et du procès que l’explosion urbaine des dernières années a conduit à lui faire. Sans mettre en cause l’appropriation privée du sol urbain, l’auteur entend redéfinir le droit de propriété – c’est-à-dire en marquer les nouvelles limites – afin que ses inconvénients sociaux soient atténués. »(Robert Savy, Redéfinir le droit de propriété, Paris, Centre de recherche d’urbanisme, 1975, 228 p., RIDC, 1977, 29-4, p. 848-849).