« (…) sous ce titre radical qui ne cache pas l’immensité de la tâche, cette recherche ne consiste pas – comme le précise son auteur – à qualifier juridiquement un objet, l’esthétique – qui est par essence est un objet social – mais à caractériser sa relation au droit. L’auteur s’attache tout d’abord à analyser cette rencontre de la norme et de l’objet, pour dans un second temps, caractériser les relations de la norme et de l’objet, dans l’observation d’un régime juridique. (…) Pour rechercher les moments de connexion entre l’esthétique et le droit, l’auteur revient aux fondements originels de ces deux notions, le juste pour le droit et le beau pour l’esthétique. L’unité du juste et du beau appréhendée notamment par la philosophie va rendre possible un rapprochement de ces concepts fondateurs. ». Thèse épuisée.